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Press release
15 janvier 2021
Forest Plantation in Africa

Impacts attendus sur le développement

 

RENFORCEMENT DU POUVOIR ÉCONOMIQUE DES FEMMES

  • Soutien aux emplois décents pour les femmes : L’entreprise a créé un plan d’action pour l’égalité des genres afin d’améliorer le recrutement des femmes et leur rétention dans le marché du travail, de réduire l’absentéisme et d’accroître la productivité. Elle a mis en place des mesures pour soutenir les employées dans leur travail, entre autres des activités de responsabilité sociale d’entreprise (RSE) telles que la construction de 5 garderies communautaires, des programmes de sensibilisation sanitaire et une formation des femmes entrepreneures pour la communauté.
  • Création d’emplois pour les femmes : Miro a signé un engagement au Défi 2X basé sur un objectif d’augmenter au Ghana la proportion de femmes dans sa main‑d’œuvre à 40 % au cours des deux prochaines années (actuellement d’environ 26 %), ce qui est un objectif ambitieux pour une entreprise forestière exploitant ses activités dans des endroits reculés de l’Afrique de l’Ouest.

Développement des marchés

Miro figure parmi les principaux employeurs des régions éloignées où elle exerce ses activités : elle compte plus de 2 000 employés, dont 97 % sont des résidents locaux.

ACTION CLIMATIQUE

  • Accroissement de la séquestration du carbone : Cet investissement permettra une plus grande atténuation des changements climatiques par la séquestration du carbone (tant dans les zones de plantation que dans les zones de conservation). Miro a déjà planté plus de 17 millions d’arbres sur 20 000 hectares de terres dégradées au Ghana et en Sierra Leone. Ces forêts ont séquestré cumulativement plus de 1,3 million de tonnes de CO2 à ce jour. Grâce à l’expansion de ses opérations, le nombre d’arbres en culture augmentera et l’entreprise prévoit séquestrer cinq millions de tonnes supplémentaires de CO2 d’ici 2030.
  • Valorisation de la biomasse : Outre la séquestration de carbone, Miro contribue à la réduction des émissions de gaz à effet de serre par la valorisation des résidus de bois (par ex. les branches, les surplus de sciage, le bran de scie) qui représentent environ 50 % du volume de production total de bois scié provenant de ses plantations. L’entreprise vend une partie de cette biomasse comme source de combustible aux consommateurs de bioénergie, remplaçant ainsi le charbon et les combustibles lourds de même que le charbon de bois tiré des forêts indigènes restantes.