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Publié le 8 novembre 2023 | Mis à jour à 3PM

Mobiliser et combiner les capitaux publics et privés pour optimiser l’investissement dans l’action climatique

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HG

Lieu : Madinat Jumeriah Conference Centre, Dubaï

Organisateur : Climate Action Organization

Type : Table ronde

Conférence : Forum Finance durable

Conférenciers :

1.      Paulo Martelli, dirigeant principal des investissements, FinDev Canada

2.      Dr Mahmoud, Mohieldin, champion de haut niveau des Nations Unies, Égypte

3.      Aparna Shrivastava, directrice générale adjointe du climat, International Development Finance Corporation, États-Unis

4.      Tim Reid, chef de la direction, UK Export Finance

5.      Ambroise Fayolle, vice-président, Banque européenne d’investissement

Contexte :

  • Le financement mixte est une solution qui catalyse l’adaptation, atténue les risques et contribue à combler le déficit de financement de l’adaptation en mobilisant des capitaux publics et privés.
  • Le monde est aux prises avec des défis monumentaux liés au changement climatique et aux crises géopolitiques. Pour relever ces défis, une collaboration plus étroite entre les secteurs public et privé s’impose – dans quelle mesure la mobilisation de capitaux et d’investissements privés est-elle nécessaire pour déployer des solutions à l’échelle mondiale?
  • Les capitaux publics et privés peuvent-ils collectivement faciliter la mobilisation d’investissements en soutien aux efforts d’atténuation et d’adaptation climatiques dans les économies émergentes?
  • En combinant les capitaux publics et privés, en réduisant les risques d’investissement et en créant des incitatifs financiers, ces mécanismes peuvent accélérer la transition vers un avenir sobre en carbone et résilient aux impacts climatiques tout en soutenant les Objectifs de développement durable de l’ONU dans les pays en développement.
  • Le financement mixte est-il une approche éprouvée de gestion optimisée du risque?
  • Le financement privé doit composer avec de multiples contraintes, notamment l’incertitude quant à l’évolution future des politiques, les investissements technologiques qui augmentent le coût du capital, des données limitées et des profils risque-rendement peu attrayants. Comment ces défis sont-ils surmontés et dans quelle mesure le financement climatique privé aide-t-il les économies émergentes à atteindre les objectifs de l’Accord de Paris?
  • Quant aux banques multilatérales de développement qui ont pour mission de tirer profit de fonds publics pour débloquer des capitaux privés : comment les inciter à prendre plus de risques? La faible collaboration entre ces banques entrave-t-elle leur avantage concurrentiel et leur capacité à attirer des investisseurs institutionnels?