L’açaï est transporté dans des paniers depuis le bateau.
Macapá, Brésil
Amérique latine et Caraïbes

À propos d’EcoEnterprises Fund

EcoEnterprises III, un fonds d’investissement dirigé par des femmes, fournit des capitaux aux petites et moyennes entreprises dont la croissance est respectueuse de la biodiversité et qui exercent leurs activités dans des écosystèmes sensibles d’Amérique latine. Le fonds est géré par GEC EcoEnterprises Management, un gestionnaire spécialisé qui a pour mission d’assurer un avenir durable en misant sur l’investissement d’impact. Parmi les secteurs ciblés, notons l’agriculture et la foresterie durables, l’agroforesterie et les produits récoltés à l’état sauvage, l’aquaculture et l’écotourisme. L’investissement de FinDev Canada dans EcoEntreprises III soutient les PME d’Amérique latine qui protègent les environnements fragiles, créent des emplois et renforcent l’autonomie des femmes de zones rurales.

L’engagement financier de FinDev Canada : 12,5 M$

En savoir plus sur EcoEnterprises Fund

À propos de SAMBAZON

SAMBAZON fait partie du portefeuille d’EcoEnterprises Fund III, un producteur d’aliments à base d’açaï, est déterminé à aider les habitants de l’Amazonie grâce à une gestion durable de la forêt amazonienne au Brésil. Ses usines emploient des centaines de personnes et ses produits sont vendus dans 51 pays. Fondée en 2000, SAMBAZON, acronyme pour Sustainable Management of the Brazilian Amazon (gestion durable de l’Amazonie brésilienne), est à l’origine de l’appellation « açaï certifié » et de la commercialisation de ce fruit dans le monde. La société produit et commercialise des produits à base d’açaï biologique et certifié équitable grâce à sa propre chaîne d’approvisionnement, afin d’assurer la traçabilité transparente « de l’arbre à votre main ». Tous les produits SAMBAZON sont à base d’açaï certifié biologique par l’USDA, sans OGM et végétaliens, et portent le sceau « Fair for Life ». L’homologation « commerce équitable » de SAMBAZON a contribué à la protection de la forêt amazonienne et de sa riche biodiversité, et a eu des retombées positives sur des milliers de producteurs locaux.

«SAMBAZON a fait connaître l’açaï au monde entier. Et un açaï qui respecte toutes les normes et certifications nécessaires pour conquérir n’importe quel marché. »

L’impact d’EcoEnterprises Fund

3 477
emplois créés
557 000
tonnes d’équivalent CO2 évitées
6,5M
d’acres protégés/gérés de façon durable
10M
de tonnes de résidus organiques traités ou recyclés

Notre investissement dans EcoEnterprises Fund soutient les ODD suivants :

SDG 5. Égalité Entre Les Sexes

Parvenir à l’égalité des sexes et autonomiser toutes les femmes et les filles

SDG 8. Travail Décent et Croissance Économique

Promouvoir une croissance économique soutenue, partagée et durable, le plein emploiproductif et un travail décent pour tous

Macapá, Brésil

L’Amérique latine représente 16 % des terres de la planète1, mais 40 % de la biodiversité restante y est concentrée2. Le Brésil est le plus grand pays d’Amérique latine et la principale économie du continent. 60 % de la forêt amazonienne est sur son territoire3. Comme cet écosystème abrite 10 % des espèces connues4, sa préservation est incontournable pour lutter contre le changement climatique. Il faut soutenir les pratiques d’agriculture durable pour préserver cette importante zone forestière, qui connaît un déclin soutenu depuis deux décennies. Macapá prospère grâce à son économie robuste axée sur le commerce et la pêche, ce qui favorise la croissance et multiplie les possibilités.

Carte du Brésil
Transport de l’açaï jusqu’au rivage
Transport de l’açaï jusqu’au rivage.
Les sacs d’açaï sont transférés dans des paniers
Les sacs d’açaï sont transférés dans des paniers.
Rencontrer la photographe

Ana Caroline de Lima

Ana Caroline de Lima est une photographe et journaliste brésilienne, titulaire d’un doctorat en anthropologie. Son travail se concentre sur la relation humaine avec l’environnement naturel et la culture contemporaine à travers des solutions journalistiques. Elle a réalisé une grande partie de son travail en Amérique du Sud, de l’Amazonie aux Andes. Ses photographies ont été récompensées au niveau national et international et exposées dans plus de 20 pays, notamment au Museo di Roma in Trastevere, à l’Oxo Tower et au Palacio de Maldonado.

En tant qu’exploratrice du National Geographic, Ana documente des exemples socio-environnementaux montrant comment la biodiversité, la bioéconomie et les connaissances traditionnelles sont essentielles à la préservation du Cerrado, le deuxième plus grand biome d’Amérique du Sud (et également l’endroit d’où viennent les ancêtres d’Ana).

«Les bateaux remplis de baies d’açai sont déchargés et transportés avec précaution au siège de SAMBAZON, où elles seront transformées et distribuées dans le monde entier. Tout en renforçant les communautés locales, qui récoltent les baies de manière durable, la forêt est protégée. Grâce à ce fruit délicieux, de plus en plus de gens prennent conscience de l’une des millions de merveilles de l’Amazonie et de l’importance de maintenir notre forêt tropicale en vie et de la protéger. »